L'artificialisation des sols devient une question d'actualité

Publié le par AlainG

L'artificialisation des sols devient une question d'actualité

Deux ans après l’annonce du plan biodiversité (communication du 4 juillet 2018 au conseil des ministres, les outils d’évaluation et de réponse à l’objectif « Limiter la consommation d’espaces naturels, agricoles et forestiers pour atteindre l’objectif de zéro artificialisation nette » commencent à émerger, avec un souci de pédagogie et de transparence des informations. Plusieurs sites internet se sont construits, à l’initiative du Ministère de la Transition Écologique, avec l’appui technique du CEREMA.

Il s’agit notamment du portail-observatoire de l’artificialisation des sols qui vise à définir ce que l’on entend par artificialisation (voir le rapport du CEREMA de 2019) et à l’observer notamment au travers des fichiers fonciers du Ministère des Finances.

https://artificialisation.biodiversitetousvivants.fr

Un autre site, encore en version béta, vise à identifier le potentiel foncier au travers des friches inventoriées au travers de bases constituées et/ou d’une reconnaissance fine de terrain. Cette base est appelée à évoluer rapidement et à nourrir le débat public autour des choix d’aménagements dans les documents de planification urbains et énergétiques :

https://cartofriches.cerema.fr/cartofriches/

La région Ile-de-France, au travers de l’Institut Paris Région s’est aussi posé la question des modalités possibles de réponse à l’objectif du « zéro artificialisation nette - ZAN », au travers d’une série d’ateliers de réflexion lors du premier semestre 2020. Des travaux qui peuvent faire école ailleurs et à retrouver sur leur site internet :

https://www.institutparisregion.fr/environnement/zero-artificialisation-nette-en-ile-de-france.html

17/08/20

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article